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 Sussac, prélude à Oradour ?… L'affaire de Tulle...

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Paracolo
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Paracolo


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Sussac, prélude à Oradour ?… L'affaire de Tulle... Empty
MessageSujet: Sussac, prélude à Oradour ?… L'affaire de Tulle...   Sussac, prélude à Oradour ?… L'affaire de Tulle... Icon_minitimeJeu 4 Nov 2010 - 8:37

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Nous venons donc de voir, au chapitre précèdent, la composition réelle de la SS Das Reich…

… C’est donc le 8 juin 1944, à huit heures du matin, qu’environ 8000 hommes, 25 chars PzKpfW V Panther, 44 PzKpfW IV et 13 canons d’assaut quittent Montauban pour rejoindre la zone prescrite de Tulle Limoges (et non la Normandie) dans la soirée.

L’emplacement des cantonnements prévus pour les unités de la Das Reich, révèle d’ailleurs, (voir le schéma) (la préférence a été donnée à des lignes droites, rendant plus simple la lecture, pour avoir une vue plus « géographique » on pourra se reporter aux cartes Michelin indiquées dans le cartouche) les intentions du 66e Corps : Réaliser une vaste opération anti terroriste en bordure du plateau de Millevaches…

…Dans un premier temps s’assurer le contrôle des villes principales Limoges et Tulle et d’importance secondaire Brive et Uzerche, puis ratisser et dégager la route jusqu’à Clermont Ferrand.

Les unités sont disposées en forme de L entre la N 20 et la N 89, la branche verticale devant se rabattre comme l’on ferme un éventail…
…Manœuvre classique, malheureusement engager une division blindée dans une telle opération est irresponsable.

...Une division de montagne comme la 7e SS Freiwilligen Gebirgs Division « Prinz Eugen » qui avec ses deux régiments d’infanterie et sa compagnie de chars français de récupération (Hotckiss 35, Somua et B) était, après sa chasse à Tito, spécialisée dans ce genre de travail…

…En fait c’est le matériel blindé de la Das Reich qui payera cet ordre insensé.

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Enfin… Ils sont partis, et après une route sans anicroche, excepté les problèmes mécaniques qui se multiplient et parsèment les blindés sur la N 140, le régiment de char (Axe A) qui n’a parcouru que la moitié du chemin imposé s’arrête essoufflé dans la région de Beaulieu où il s’installe pour la nuit.
Sa moyenne aura été d’environ 15 km/h !...

Sur l’axe B, la progression des trois bataillons s’effectue paisiblement, à la même moyenne horaire,  jusqu’à la pause de midi qui se déroule au Frayssinet…
C’est lors de cette halte qu’est prise la décision, deux accrochages s’étant produits avec les maquisards, l’un le 6 juin à Carsac, attaque d’un avant poste allemand, l’autre la veille à 30 km de là* sur un élément précurseur de la Das Reich ; d’envoyer le 1er Bataillon DF (Der Führer) de Diekmann protéger la gauche du convoi.

A partir du pont de Rhodes, le I./DF suivra la N 704 jusqu’à Carsac, puis reviendra par la N 703 sur Souillac, afin d’arriver de l’autre côté du pont et de pouvoir intervenir si besoin.

La mission de flanquement de Diekmann, 60 km à inspecter, va provoquer les premières pertes humaines (un ou deux morts) et matérielles (une moto et un véhicule) de la division et se solder par la mort d’une trentaine de résistants et civils.

Le bataillon est attaqué tout d’abord à Groléjac (dix morts français)(le groupe AS Corrèze 19 hommes commandés par Roger Gerrand et Joffe Camille (Marcel Malatray, Louis Coquil et JB Thières sont tués au combat) et rejoints par le maquis AS Alberte (9 hommes) commandé par Lucien Dubois (nommé la veille sous-préfet de Sarlat) auxquels se joignent des villageois. 7 maquisards sont passés par les armes.), puis en franchissant le pont sur la Dordogne, tombe sur un camion transportant cinq résistants stupéfaits.
L'un parvint à s'enfuir mais les quatre autres furent tués.
Abat au moins deux personnes dans Carsac, se heurte au lieu dit Rouffillac (sud de Carlux) à une importante barricade qu’il prend à revers (un mort deux blessés) ( Groupe AS Alberte commandé par H. Beylot ) incendie en représailles l’hôtel voisin (dix morts) mitraille deux femmes à l’entrée de Carlux, et rattrape le flux SS circulant sur la N 20, avec cinq heures de retard sur son régiment.

Ce faisant Diekmann, n’agit pas à la légère. Il applique strictement l’ordre Sperrle du 3 Février 1944 :

OB West  3.2.1944:
»[...] Wird eine Truppe in irgendeiner Form überfallen, so ist der Führer verpflichtet, sofort von sich aus selbständige Gegenmaßnahmen zu treffen. Dazu gehören:
a) Es wird sofort wiedergeschossen! Wenn dabei Unschuldige mitgetroffen werden, so ist das bedauerlich, aber ausschließlich Schuld der Terroristen.
b) Sofortige Absperrung der Umgebung des Tatortes und Festsetzung sämtlicher in der Nähe befindlicher Zivilisten ohne Unterschied des Standes und der Person.
c) Sofortiges Niederbrennen von Häusern, aus denen geschossen worden ist.
Erst nach diesen oder ähnlichen Sofortmaßnahmen kommt die Meldung. [...]

4. Bei der Beurteilung des Eingreifens tatkräftiger Truppenführer ist die Entschlossenheit und Schnelligkeit ihres Handelns unter allen Umständen an die erste Stelle zu setzen. Schwer bestraft werden muß nur der schlappe und unentschlossene Truppenführer, weil er dadurch die Sicherheit seiner unterstellten Truppe und den Respekt vor der deutschen Wehrmacht gefährdet. Zu scharfe Maßnahmen können angesichts der derzeitigen Lage kein Grund zur Bestrafung sein. [...]«


a) Réponse immédiate par ouverture du feu. Si des innocents sont touchés, ce sera regrettable, mais de la faute exclusive des terroristes.
b) Bouclage immédiat des lieux de l’agression et arrestation de tous de tous les civils se trouvant à proximité, sans distinction de classe et de personne.
c) Incendie immédiat des maisons d’où les coups de feu ont été tirés.
Ce n’est qu’après que ces mesures, ou des mesures similaires auront été immédiatement prises qu’il sera rendu compte.

4. Dans l’appréciation de l'intervention énergique des chefs de troupe, la détermination et la rapidité de leurs actions sont à placer, dans tous les cas, en première ligne. Doit être sévèrement puni seul le chef mou et irrésolu, car il met en péril la sécurité des troupes qui lui sont subordonnées et le respect de la Wehrmacht allemande. La prise de mesures trop sévères, étant donné la situation actuelle, ne pourra pas être une raison de punition […]
(Hubert Tâge « Wo ist Kaïn ? » Lindhorst Askania p52 et Otto Weidinger « Tulle und Oradour-eine deutsch-franzosische Tragodie »Institut für Volkstum und Zeitgeschichtsforschung Nachdruck der Auflage von 1985 (02/2010)p 26 )

Nulle résistance ne s’étant manifestée à Souillac, sans attendre Diekmann la colonne continue d’avancer sur des routes désertes jusque vers 17 h.
A Cressensac (16 km sud de Brive) la route est barrée par une barricade gardée, en quelques minutes quatre maquisards sont tués et la route dégagée**.
Huit kilomètres plus loin à Noailles, mêmes troncs d’arbres, quelques civils en armes y laissent la vie.***
La colonne rencontrera encore un obstacle, mais non gardé, le défonce et Brive la Gaillarde est atteinte à 18h 30, la vitesse du convoi n'a pas varié : 15 km/h.

C’est là, que Lammerding est informé que depuis le 7 juin au matin se déroulent des combats entre les FTP (bien que ceux-ci aient été dissuadés d’attaquer Tulle par les maquisards de l'AS) et les forces d’occupation, combats confus qui ont déjà tué 17 jeunes gardes-voies étrangers à la bataille.

Tulle on le voit sur la carte, est le pivot de l’opération projetée. Lammerding y envoie aussitôt un détachement, afin de dégager la garnison, des hommes appartenant au 3e Bat. Du 95e Régiment de sécurité territoriale…. Pas vraiment des guerriers.
D’ailleurs  à 17h 15, ils se sont rendus après que les FTP aient mis le feu à l’école des filles…

Un peloton de reconnaissance part de Brive vers 19-20 heures, sous le commandement du Commandant SS Heinrich Wulf…
Une partie de l’EM, aux ordres du commandant SS Stückler, l’accompagne en élément précurseur devant aménager les locaux destinés à la préparation de l’opération de ratissage du plateau de Millevaches et la progression vers Clermont Ferrand.

De son côté, Lammerding et le reste de son EM continuent la route vers Uzerches-Masseret, zone médiane entre les deux villes à occuper, Limoges et Tulle dont une au moins est aux mains des partisans.
Lammerding ne connaissant point la situation de Limoges, il préfère s’arrêter à Uzerche vers 23h et y passer la nuit.

La pointe de reconnaissance arrive sans encombre (selon certaines sources, on lui aurait tiré dessus d’un tunnel de chemin de fer situé à mi chemin) aux portes de la cité révoltée à 21 h…

…Engage le combat, au bout d’une vingtaine de minutes les territoriaux sont dégagés …Ils se font d’ailleurs copieusement « remonter les bretelles » par Wulf écœuré de leur démoralisation…

…L’opération aura coûté aux SS neuf morts et un blessé… Quant aux FTP… Ils s’enfuient laissant la population se débrouiller avec les SS…

Nous voici arrivés au terme de la première journée de déplacement de ce qu’il est convenu d’appeler la "Division" Das Reich…

...Journée qui aura coûté très cher en vie françaises, pour un résultat militaire quasi nul :
« D'après la Résistance les pertes subies par la division SS, entre Montauban et Tulle au cours des 8/9 juin, se sont élevées à plusieurs centaines et beaucoup de témoignages dans la région font état des mêmes chiffres. On sait aussi que le colonel Kreutz fut consterné de découvrir qu'un petit détachement des services de maintenance, demeuré en arrière du convoi pour réparer un véhicule en panne, venait d'être massacré par des maquisards. Cela dit, aucune raison, semble-t-il, ne permet de mettre en doute le bilan d'ensemble des pertes allemandes pendant cette première marche, à savoir : une quinzaine de tués et plus de trente blessés. Du côté français, nous l'avons vu, les morts dépassaient déjà la centaine. »(Max Hastings « La division Das Reich et la Résistance » Pygmalion)

Par contre Tulle va payer très cher demain….

C’est ce que nous verrons dans le prochain article : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]



Le premier accrochage eut lieu dans la soirée du 6 juin, à Souilhac, entre un poste de guet allemand et la 1ère compagnie commandée par le lieutenant « Rémy». Le combat fut rapide, sept Allemands dont quatre offi­ciers furent tués, un important matériel détruit, la 1ère compagnie perdit trois blessés. » (Rémy « Les balcons de Tulle » Perrin 1962 p 74)

Livre par ailleurs semé d’approximations sinon d’exactitudes, ainsi p 72, Rémy voit un « Tiger »  dans Tulle
« Au Pont-Neuf, un jeune maquisard d'une vingtaine d'année, furieux de voir lui échapper cette victoire qu'il croyait avoir saisie, se jette à plat ventre au milieu de la chaussée, et vide rageusement le chargeur de sa mitraillette sur le char Tiger qui se rue vers lui. Les balles rebondissent en un crépitement dérisoire sur la carapace d'acier, camouflée de bandes jaunes, noires et vertes. L'énorme engin passe sur le tireur, laissant derrière lui une bouillie sanglante et un Sten gun aplati. ».
Alors que c’est l’Aufklärungs Bataillon du Commandant SS Heinrich Wulf qui pénètre dans la ville…
…Et que les bataillons de reconnaissance ne possèdent que des automitrailleuses du type SdKfz 250, 232 ou au mieux 234, respectivement 6, 8 et 12 tonnes … Difficile de confondre avec les 56 tonnes d’un PzKpfW VI Tigre, dont d’ailleurs la Das Reich, ne possédait aucun exemplaire.)

** « Le capitaine « Romain », alias Merlat, prenait la décision d'attaquer de front, bien qu'avec des moyens offensifs extrêmement faibles.
D'un chemin battant la route nationale, à Cressensac, les armes automatiques étaient mises en batterie, lorsque vers 15 h 30 apparurent les voitures blindées. Les véhicules se heurtèrent à un léger barrage d'arbres appuyé par le plan de feu des mitrailleuses!.
Le tir brusquement déclenché causa un évident effet de surprise sur les éléments avancés de l'ennemi, aussitôt stoppés. Les Boches sautèrent à bas des voitures et gagnèrent les bas-côtés de la route pour organiser la défense avancée du convoi. Mais les premières voitures furent remplacées par des chars Tiger
(encore !!)qui ouvrirent le feu à 800 mètres sur les nids de mitrailleuses françaises. Pendant une demi-heure, les canons des chars bloqués à la barricade tonnèrent sans arrêt, tandis que l'infan­terie, harcelée par nos tirs et subissant de lourdes pertes, essayait de forcer le barrage, Dans le même temps, des fantassins et des éléments légers de la Das Reich amor­cèrent un mouvement enveloppant autour de Cressen­sac.
Les soldats de l'A.S., avec un remarquable sang­-froid, continuèrent de lutter jusqu'à 19 heures, engageant leurs F.M. sans répit. La bagarre fut rude. Elle a coûté à l'A.S. 5 tués, 3 blessés, et l0 disparus. Mais ces sacrifices n'étaient pas vains, puisque les Boches empor­taient avec eux plusieurs camions de blessés et de morts.
(?) »(Rémy op cit p 76)

*** « à Noailles, au faîte de la colline qui garde les approches de Brive-la-Gaillarde, un petit groupe d'hommes de la 1re division, 6e compagnie de l'As de Cœur, surveillait les lieux (…) Leur chef, le commandant Romain, s'entretenait avec eux (…)
Le groupe de Noailles venait d'être renforcé par neuf déserteurs des GMR, beaucoup d'entre eux s'étant enrôlés dans la Résistance depuis le Jour J.
Plusieurs de ces gardes mobiles, dont leur chef, un nommé Lelorrain, se trouvaient encore auprès de leur véhicule lorsque leur parvint « un bruit infernal ». Le premier des blindés de Wulf débouchait sur la crête
(les SdKfz de Wulf étaient passés en tête depuis la barrière de Cressensac). Il ouvrit instantanément le feu, atteignant du premier coup Lelor­rain et plusieurs autres.
Quelques résistants ripostèrent mais la plupart durent s'éparpiller dans les maisons et les jardins : après seulement trois heures passées au service de la cause des Alliés le chef des GMR agonisait au bord du chemin parmi d'autres Français déjà morts ou mortellement blessés.
»(Max Hastings « La division Das Reich et la Résistance » Pygmalion)


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Dernière édition par Paracolo le Mar 14 Mar 2017 - 15:06, édité 2 fois
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Lothy
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MessageSujet: Re: Sussac, prélude à Oradour ?… L'affaire de Tulle...   Sussac, prélude à Oradour ?… L'affaire de Tulle... Icon_minitimeJeu 15 Mai 2014 - 8:47

A la veille du 70e anniversaire de tous ces événements, c'est une très bonne idée de les remettre à la disposition des membres de cet estimable forum.

Un rappel ou une découverte loin d'être inutiles.

Merci !
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marcel

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MessageSujet: Re: Sussac, prélude à Oradour ?… L'affaire de Tulle...   Sussac, prélude à Oradour ?… L'affaire de Tulle... Icon_minitimeDim 8 Juin 2014 - 18:30

Lothy a écrit:
A la veille du 70e anniversaire de tous ces événements, c'est une très bonne idée de les remettre à la disposition des membres de cet estimable forum.

Un rappel ou une découverte loin d'être inutiles.

Merci !


c'est le forum des liens ...   Very Happy  

un sujet t'amène sur un autre ....  study  puis sur un autre ...  study   et encore sur un autre ...  study 
à en oublier le premier sujet sur lequel tu t'es connecté ...  scratch
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Lothy
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MessageSujet: Re: Sussac, prélude à Oradour ?… L'affaire de Tulle...   Sussac, prélude à Oradour ?… L'affaire de Tulle... Icon_minitimeDim 8 Juin 2014 - 18:49

Lothy aurait donc bien fait de s'abstenir.....
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Lothy
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MessageSujet: Re: Sussac, prélude à Oradour ?… L'affaire de Tulle...   Sussac, prélude à Oradour ?… L'affaire de Tulle... Icon_minitimeDim 6 Nov 2016 - 1:08

Ben Lothy, elle re-découvre cet article, et constate avec inquiétude qu'elle a lu un livre truffé d'inexactitudes.... "Les Balcons de Tulle".... Embarassed Embarassed Embarassed 

C'était il y a longtemps, mais tout de même ! scratch
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Paracolo
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Paracolo


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MessageSujet: Re: Sussac, prélude à Oradour ?… L'affaire de Tulle...   Sussac, prélude à Oradour ?… L'affaire de Tulle... Icon_minitimeDim 6 Nov 2016 - 1:10

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L'histoire officielle ...

...Suite jamais terminée, non pas de ma faute mais de celle de la loi Gayssot.

_________________
Si ce que j'ai fait est vain, qu'il me reste au moins de m'être dépassé en le faisant...
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Lothy
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MessageSujet: Re: Sussac, prélude à Oradour ?… L'affaire de Tulle...   Sussac, prélude à Oradour ?… L'affaire de Tulle... Icon_minitimeDim 6 Nov 2016 - 1:12

C'est ce que je viens de voir !....
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zitoune

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MessageSujet: Re: Sussac, prélude à Oradour ?… L'affaire de Tulle...   Sussac, prélude à Oradour ?… L'affaire de Tulle... Icon_minitimeMar 15 Jan 2019 - 18:14

Même si les ordres n'étaient pas de rejoindre la Normandie, le passage  par Tulle, Limoges, Poitiers n'est pas le plus mauvais itinéraire.
Et elle a finie par rejoindre.
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Sussac, prélude à Oradour ?… L'affaire de Tulle...
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