Photos de guerre

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Falaise, 18 août 1944. Sapeurs canadiens à la recherche de mines le long des rues de Falaise …

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Saint-Lô, le 8 août 1944. Vue aérienne montrant l'ampleur des dommages subis par Saint-Lô lors de la bataille du bocage, ...

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Vire, le 14 août 1944, vue aérienne.

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Avranches, 3 août 1944. Les troupes américaines entrent dans Avranches, se frayant un chemin parmi les véhicules allemands détruits…

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France, le 3 août 1944. Deux WACS se lavent les cheveux l’une l'autre, avec un casque  de GI servant de bassine. Il s’agit du Pvt. Claire Dickman, de San Francisco, Cal.(à gauche), et de Selma Herfor, de New York City ...

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France, le 13 juin 1944. Des prisonniers allemands bouche bée à la vue du général Sir Bernard Montgomery perché dans un Jeep ...

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Colleville sur Mer, le 14 juin 1944. Selon la légende attachée à la photo, le mort allemand au premier plan a été tué par le Français à droite qui aurait été contraint de travailler pour les nazis à 2 $ par semaine...

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Coutances, 3 août 1944, Flanquée de bâtiments ravagés par la guerre, une petite réplique de la Tour Eiffel, qui se trouvait sur le toit de la maison de M. Lemoine, marchand d'appareils de radio, repose au sommet d'un tas de gravats dans une rue de Coutances.

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Saint Denis le Gast, le 3 août 1944. Véhicules blindés allemands détruits et leurs membres d'équipage morts le long de cette route à Roncey…

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France (sans date). Des civils français, blessés lors des combats, sont soignés par des infirmiers américains, avant leur évacuation vers un hôpital…

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France, 18 juillet 1944. Souriants les GI’s aident volontiers les premières WACS US débarquant en France. Le soldat de gauche, n’en a pas pour autant lâché son courrier...

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Roncey le 11 août 1944. Des citoyens de Roncey, de retour dans leur ville sont accueillis par des chars allemands et d'autres pièces d'équipement ennemi détruit ou abandonné qui jonchent les routes...

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Caen, le18 juillet 1944. Les civils se sont réfugiés dans l’église Saint Etienne.

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Saint Sauveur Lendelin, le 9 août 1944. Au milieu des ruines de Saint Sauveur Lendelin, le Cpl. Floyd Davis, de Nashville, Tennessee, est assis sur un vieux canapé et lit une lettre qui vient de lui parvenir…

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Marigny, le 29 juillet 1944. Les soldats américains avancent prudemment dans les ruines de Marigny, se méfiant des tireurs d'élite ennemis...
Notez la pancarte Heintz , nom du Kampfgruppe de la 275.ID

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Périers, le 6 août 44. Chars et camions américains se fraient un chemin dans Périers,

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Périers le 5 août 44. Devant les ruines d'une maison à Périers, le Sgt. F. Clark, Marblehead, MA, regarde la statue de la paix du Monument aux morts qui a échappé aux dommages. Seul le socle a été ébréché par des éclats d'obus. Un signe sûr des temps ?

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Bayeux, le 16 juillet 1944. Des officiers de la RAF transportent les bagages des religieuses Près de 100 sœurs bénédictines ont été évacuées de Caen à Bayeux

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France, le 6 juillet 1944. Les civils français sont employés par les forces alliées en Normandie. Ici, l’on voit un groupe de travailleurs triant les munitions de l'une des énormes décharges constituées dans la tête de pont...

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Saint Jores, le 10 juillet 1944. Rampant le long d'une haie, deux fantassins Alliés avance sous le feu ennemi, le Sherman à gauche s’avance pour engager l'ennemi ... Le photographe n’a pas hésité à se placer en avant dans la zone non déminée pour réaliser cette photo...
Photo que nous retrouverons, comme d’autres, dans un tirage plus détaillé

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Carentan, le 15 juin 1944. Trois parachutistes américains dans les rues de Carentan libéré…

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Falaise, le 19 août 1944. Vue de la place Saint Gervais, dans Falaise, prise par les troupes canadiennes après de durs combats…

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France, 21 juin 1944 - Craignant pour son avenir, ce jeune japonais, capturé sur une plage et vêtu d'un uniforme nazi, est interrogé. Un capitaine de l'armée américaine relève son nom et son matricule...

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Vire, le 14 août 1944. Les terribles bombardements anglo-américains ont réduit la ville ruines. Ces dernières gênent à présent la progression des troupes alliées…

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Le Neubourg, le 22 août 1944. Soldat allemand tué à côté de son semi-chenillé alors que les forces allemandes se retiraient vers Mortain, d’autres véhicules de l’unité (à arrière-plan) ont également été détruites…

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Châteauneuf sur Sarthe, le 15 août 1944. La population contemple, quelques-uns des 800 Nazis capturés dans Chateauneuf sur Sartre et que les soldats américains chargent sur des camions à destination des camps de prisonniers...

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En mer, le 26 juillet 1944. Des prisonniers allemands blessés et malades suivent les ordres du médecin en prenant l'air frais et le soleil sur le pont. Peignoirs et chaussons leur ont été fournis par l’armée US…

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Caen, le 15 juillet 1944. Réfugiés dans l’église Saint Etienne, alors que les forces britanniques et canadiennes prenaient Caen, des centaines de réfugiés français vivent, mangent, dorment dans les lieux sacrés.
Les opérations de ratissage terminées, ils seront évacués lentement par les armées Alliées…

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Mobecq, 15 août 1944.  La 2eme DB a débarqué à partir du 1er août 44… (Notez la date)
Les troupes françaises libres avec leurs véhicules blindés sont ici dans une zone transitoire du théâtre d'opérations, juste avant de monter en ligne pour appuyer l’effort allié de libération de la France…
Et non le contraire comme on le dit trop aujourd’hui

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Cherbourg, le 16 juillet 1944. Pour honorer celui qui a porté la bannière de la liberté française, Cherbourg libéré a rebaptisé une place de la ville.
Le dimanche suivant les cérémonies du 14 juillet, le maire de Cherbourg dévoile la plaque "Place Général de Gaulle."
Notons au passage que le commentateur américain, n’a qu’une idée très imprécise de l’histoire de France

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Sottevast - Brix, le 6 juillet 1944. Accompagné par le lnt général Omar N. Bradley, le général Dwight D. Eisenhower (le second) visite un site de lancement de V2 capturée par le 504th Parachute Infantry Regiment (504th PIR), en Normandie.

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Saint Marcouf, le 18 juin 1944. Au début juin 1944, seuls deux ouvrages sont terminés et équipés de deux canons Skoda K/39/41 de 210mm. La Batterie de Crisbecq recevra 598 tonnes de bombes le 6 juin.
Attaquée par le 502nd Parachute Infantry Regiment (502nd PIR), elle coulera l’USS Corry.
Le 7 juin le 22e régiment d’infanterie de la 4e DI américaine tente de prendre la position mais c’est un échec cuisant.
Le 11juin, le commandant Ohmsen et ses hommes évacuent sur ordre la batterie.
Le 21 août 1944, un soldat américain pénètre à l’intérieur de la soute à munition avec une cigarette, ce qui engendre le désastre. Une douzaine d’hommes y perdront la vie.
On le voit contrairement au commentaire annexé à la photo, la batterie n’a pas échoué et ne fut pas rapidement mise hors service.

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Colleville sur Mer, le 6 juin 1944. Blessé à la tête, le visage strié de sueur et de poussière, un soldat américain est soigné par un infirmier.

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Cherbourg, le 8 juillet 1944. Le drapeau blanc flotte sur l'Arsenal de Cherbourg…

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Caen, le 14 juillet 1944.  Les troupes britanniques avancent prudemment dans les décombres minés par les allemands, rue du Vaugueux à Caen…

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Pont l'Abbé, le 19 juin 1944. Des civils français de retour à Pont L'Abbé, après la poussée des Alliés, passent rue de la Marne prés d’allemands morts et d’équipement détruit.
Au premier plan, retourné un SdKfz 2 (Sonderkraftfahrzeug 2), plus connu sous le nom de Kleines Kettenkraftrad HK 101…

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Saint-Lô, le 12 août 1944. Ce fut certes une victoire, un gain de terrain que la prise de Saint-Lô. Hélas, la quasi-totalité de la ville est dans le même état que la partie vue sur la photo, aussi loin que la vue peut s’étendre, ce ne sont que décombres…

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Tourlaville, le 29 août 1944. Une première tentative de débarquement de wagons depuis un LST. Une rampe spécialement construite, facilite le travail.

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Saint Sauveur le Vicomte, le 23 juin 1944. Tout ce qui reste de Saint-Sauveur est une masse de gravats et de débris de bâtiments encore debout. Les civils qui ont évacué leurs maisons reviennent pour trouver, souvent, seulement qu’un mur ou deux de leur habitation, ils trouvent aussi, des membres de leur famille morts dans les ruines...

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Caen, le 27 juillet 1944. La compagnie Fred Scamaroni, avec en tête le capitaine Léonard Gille… Fred Scamaroni, bien que Corse fut chef de cabinet du préfet du Calvados en 1939.
En juillet 1944, après la prise de Caen, le responsable de la police, le commissaire Dubois -dit "Duroc"- (de l'équipe de François Coulet) fera état de ses inquiétudes vis à vis des FFI de la compagnie "Scamaroni". Même singulièrement exagérées, elles démontrent la crainte et la méfiance des autorités gaullistes à l'égard de la résistance intérieure :
"Dans la ville de Caen, où les éléments actifs de la résistance ne devaient pas dépasser une trentaine de personnes, a surgi au moment de la Libération un groupement de 200 hommes, dotés d'armes en grande partie fournies, sans arrière-pensées, par les Alliés. Cette force est incontestablement plus forte que celle des services de police. . . La discipline et la moralité d'un certain nombre de ces résistants étant assez faible, cette situation présente un danger auquel il conviendrait de remédier... La résistance à Caen forme un État dans l'État... Si des groupements armés continuent à exister dans leur forme présente, leur présence constituera un jour prochain un danger pour le Gouvernement provisoire" (Rapport du 22 juillet 1944, A. N. Fia4004-4008).

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Sainte Marie du Mont, le 14 juin 1944. Un soldat américain fait une pause dans la bataille, s’offrant un bref moment de méditation devant le calvaire de "la Gallie"…

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Saint Sauveur le Vicomte, le 23 juin 1944. Debout dans une zone délimitée comme "dangereuse", ce soldat américain observe les débris d'un véhicule dans les décombres de ce qui fut autrefois un bâtiment de Saint-Sauveur…

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Omaha, le 13 juin 1944. Des centaines de soldats américains ont donné leur vie lors de l'invasion de la France. Des habitants, d'une ville française libérée, se joignent troupes américaines pour rendre hommage aux morts, tandis qu’une femme se met à genoux avec des fleurs pour les tombes dans le premier cimetière américain en France...

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Caen, le 14 juillet 1944. Contrairement à ce que nous dit le commentateur britannique, les dégâts aux bâtiments et à l’église Saint Pierre, ne sont pas dus au « Vandalisme Nazi », mais essentiellement à la dizaine de bombardements de la ville par l’aviation alliée, durant la bataille…Bombardements qui feront environ 2300 victimes civiles.

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Normandie, le 15 juin 1944. Pas tous les prisonniers de l'armée allemande capturés sur les champs de bataille de France sont de vaillants, aryens blonds.
En bas de gauche à droite: un yougoslave, un italien et un turkmène.
En haut de gauche à droite: un allemand, un tchèque et un russe

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Saint Sauveur Lendelin, le 8 août 1944. M. Colobert, dont la femme a été tuée quelques jours plus tôt par un obus, accueille les Américains de la 4e division blindée venant de Périers avec son drapeau…

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Bréhal, le 4 août 1944. Sous les regards des forces américaines et alliées, les civils de Bréhal, récupèrent le matériel abandonné par les allemands en retraite.
En l’occurrence, un canon antichar de 4,5 cm Pak184(r), (ex-45 mm M1937 soviétique), d’une unité de Ost-Truppen ayant combattu dans la région l’Ost-Btl 635 ou le Georg.-Batl.797..

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Madier(e)s, le 20 septembre 1944. Alors que son copain couvre ses mouvements, un soldat américain (à gauche) rampe dans la ligne de feu pour sauver son capitaine (à droite) qui gît sur le sol après avoir été touché par une balle de mitrailleuse, pendant les combats de rue dans Madiers…
Le commentateur se trompe, la photo n’est pas prise à Madiéres, faubourg de Pont à Mousson (qu’il orthographie d’ailleurs Madiers) Mais en face du 13-15 rue Maréchal Joffre à Pont à Mousson…Chose facilement vérifiable sur ici Google Maps,  en particulier grâce à l’encadrement de fenêtre et aux deux petites porte du N°13.

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Isigny sur Mer, le 16 juillet 1944. La vue de colonnes sans fin de matériel de guerre est devenue une commune maintenant, les habitants d’Isigny vaquent à leurs occupations rue Emile Demagny, en ignorant le convoi qui passe à côté d'eux…

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Saint-Lô, le 20 juillet 1944. Un drapeau américain (au centre) a été placé sur les ruines de l'église Sainte-Croix. Notez canon de campagne à demi-enterré (en bas à droite)…
En fait, ce drapeau recouvre le corps du major Thomas Howie…
...Howie commande le 3ème bataillon du 116ème régiment d’infanterie qui s'apprête à prendre Saint-Lô.
Le 17 juillet il est tué d'une bombe à fragmentation après avoir mené ses troupes au plus près des lignes allemandes.
Le lendemain soir, ses hommes entrent victorieux dans Saint-Lô, le corps de leur chef reposant sur le capot de la première Jeep du convoi. De sorte qu'il est effectivement le premier combattant américain à pénétrer dans Saint-Lô libéré.
Drapé de la bannière étoilée, son corps est ensuite étendu dans les ruines du clocher Sainte Croix avant d'être enterré au cimetière américain d'Omaha Beach.

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Saint-Lô, le 25 juillet 1944. Le corps d'un soldat américain mort, après que son tank destroyer ait été détruit…
Bien que datée du 25, cette scène se passe, en fait, le 18 juillet.

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Caen, juillet 1944.Les forces britanniques et canadiennes finalement entrés à Caen le 9 Juillet 1944, sur les talons des Allemands en retraite. Le capitaine Leonard Gille, président du Comité de Libération du Calvados, et M. Pierre Daure, le préfet du Calvados, saluent des membres des Civil Affairs…

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Isigny sur Mer, 1944. Les populations des villes déjà libérées par les troupes britanniques, américaines ou canadiennes commencent à rentrer dans leurs foyers. à Isigny, la rue Emile Demagny, n’est plus bordée que ruines…

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Valognes 1944. A peine la fumée de la bataille dégagée, le génie américain s’affaire à abattre les murs dangereux, et a déblayer les décombres. Ici, un bulldozer Caterpillar avec équipement LaPlant-Choate de l'armée fraie un chemin à travers un tas de décombres. Ces démolitions et déblaiement sont  la première étape dans la reconstruction des villes libérées par les Alliés...

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St. Lô, 1944. Trous d’homme désertés,  effets précipitamment abandonnés marquent la ligne derrière la haie où les troupes américaines se reposaient avant de plonger dans la bataille pour Saint-Lô. Casques, cartes à jouer, gamelles et des centaines d'autres objets parsèment cet endroit. Dans le fond, les chars et les hommes sont rassemblés sur le terrain…

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France, 1944. Alors que sa mère veille, une jeune fille est soignée, suite à des blessures dues à des tirs d'obus, dans un hôpital de campagne américain en France. Une longue file de blessés, soldats et civils, attendent leur tour...

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Vengeons, 1944. Sur le chemin de leur champ ce paysan français et sa petite fille passent, à un carrefour à quelques kilomètres de Mortain, prés d’une voiture allemande dont le conducteur gît, là, tué. Habitués à ces scènes, les deux passants ne jettent qu’un coup d'œil distrait...

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Saint-Lô, 1944. Le flux de trafic militaire traverse Saint-Lô dévasté. La percée faite, l’armée américaine avance à grande vitesse et il faut approvisionner.

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Port Cros, 17 Août 1944. Un soldat brandit un drapeau blanc, photo aérienne montrant la reddition du contingent du fort de l'Eminence et la demande de l’arrêt des tirs de l'USS Quincy. Elle a été prise par un " Kingfisher" catapulté du pont de ce même navire, auquel l’avion transmettra, par radio, la demande allemande.

Contrairement à ce que laissent penser les diverses légendes de cette photo sur le net, elle n’est pas prise en Normandie, mais bien sur l'île de Port Cros au fort de l'Eminence comme on peut le voir ici sur Google maps.

En Normandie l’USS Quincy engagera notamment le 6 et le 7 juin les forces allemandes situées dans le secteur de Saint-Côme-du-Mont au profit du 501st Parachute Infantry Regiment de la 101st Airborne Division.

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France, 1944. Des agriculteurs français récupèrent du grain dans des wagons de marchandises qui ont été bombardées par les Alliés…

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Cherbourg, le 26 juin 1944. Un soldat allemand, porteur d'un drapeau blanc, couvre, au fort du Roule, la sortie du lieutenant-général Von Schlieben, commandant de la garnison de Cherbourg, et du contre-amiral Hennecke Walther, commandant la défense maritime de la Normandie, qui se rendent après une âpre résistance...

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Port en Bessin, 1944. Au milieu des débris flottants, un bateau de flak allemande se trouve immobilisé, dans le port de Port-en-Bessin. Les bâtiments endommagés le long du rivage à l’arrière plan, montrent la densité des frappes navales qui ont soutenu les troupes d’invasion…

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Cherbourg, le 14 juillet 1944.  En formation serrée, les troupes américaines et françaises défilent côte à côte, dans la rue François La Vieille à Cherbourg, lors de la Fête Nationale...

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France, 1944. Une photo allemande récupérée par les américains.
Localisation, sous réserve, Saint-Lô, en juin 1944
Selon la légende allemande accompagnant cette photo, on y voit Jacques Doriot, vêtu d’un uniforme allemand, examinant des francs d'invasion, surnommés, toujours par la légende sus nommée, "faux argent de Roosevelt."
Jacques Doriot (1898-1945) Formé dans les écoles du Komintern à Moscou, devient député communiste à 25 ans, maire de Saint-Denis à 32, Pour avoir refusé de se plier aux exigences de Staline et prôné trop tôt un rapprochement avec les socialistes, il est exclu du Parti en 1934.
Deux ans plus tard, le 28 juin 1936, il fonde le Parti populaire français (PPF)…
Fait paraître en octobre 1940 un nouveau quotidien, Le Cri du Peuple.
Confie à Albert Beugras, dès la fin 1941, la charge de constituer un service de renseignements pour la protection des membres du Parti…
En juin 1941, lorsque les divisions allemandes se lancent à l'assaut de l'URSS. Il réclame la création d'une Légion des volontaires français contre le bolchevisme (LVF) et ira combattre sur le front de l'Est, à plusieurs reprises, de novembre à décembre 1941, et d'avril 1943 à février 1944.
Bien que certains allemands se méfient de lui, il trouve auprès des SS le soutien que lui a refusé Otto Abetz sur instruction de Hitler.
Il se replie en Allemagne en été 1944,et y trouvera la mort, à une quinzaine de kilomètres de Mengen, sur la commune de Menningen le 22 février 1945, dans sa voiture mitraillée sans doute au hasard par des avions alliés.

Une citation
« J'ai trois raisons de poursuivre la politique de collaboration : comme Français, j'évite le pire à mon pays; comme Européen, j'ai à unifier le continent; comme révolutionnaire, je pousse la France dans la voie de la Révolution nationale et sociale, la seule qui puisse lui redonner son unité. »

Aujourd’hui on catalogue le PPF parti d’extrême gauche, ainsi que Doriot, comme étant d’extrême droite, s’arrangeant une fois de plus avec l’histoire… Pour les besoins de « la cause »


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Lison, 1944 - Des blessés sont chargés à bord du premier train-hôpital allié à opérer en France depuis le jour J, sur une voie d'évitement à Lison. Ils sont dirigés vers Cherbourg pour un embarquement vers l’Angleterre…

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Saint Sauveur le Vicomte, 1944. Dormant dans la vallée, cette masse de destructions est tout ce qui reste de Saint-Sauveur, pris par les alliés sur la route de Cherbourg…

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Montebourg, 21 juin 1944. Armé d'un pistolet mitrailleur Thompson, le Cpl. photographe du Signal Corps David Halberg, de Cleveland, Ohio, pose en attendant avec impatience la prochaine ville sur le chemin des armées alliées de libération : Cherbourg… Halberg fut le premier homme à pénétrer dans la ville de Montebourg…

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Nonant le Pin, 22 août 1944. Une masse compacte, de dix mille prisonniers allemands, capturés au cours de l'avance alliée en France…

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Saint-Lô le 18 juillet 1944. Alors que le Sherman "Hun Chaser"  de la HQ Company, du 747th Tank Bn, avance Rue du Neufbourg à Saint-Lô, le Pvt. Walter Hatfield, de Princeton, Idaho, recherche les tireurs d'élite avec ses jumelles, Colt 45 à la main…

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Caen, juillet 1944. Détruit par les bombardements de précision alliés* - nous dit la légende de cette photo du pont de la rue de la  Gare ou des Abattoirs qui relie la rue de la Marine et la rue de la Gare -, ce pont fut un blocus pour les lignes de ravitaillement Allemandes et leurs mouvements de troupes. Les ingénieurs canadiens commencent à reconstruire le pont de chemin de fer afin qu'il puisse servir aux alliés…
* Bombardements " de précision ", initiés par Montgomery et exécutés essentiellement par les britanniques, qui firent entre 2000 et 3 000 morts civils…Certaines estimations allant beaucoup plus loin...
Le 7 juillet eut lieu le pire des bombardement, durant environ une heure Lancaster et Halifax du Bomber Command de l'Air Field Marshall Arthur Travers " Bomber " Harris (surnommé aussi " Butcher Harris" par ses subordonnés)!
Le No 1 Group de l’A.V.M. Edward Arthur Beckton Rice fournit 259 Lancaster III  et 12 Lancaster ABC du Squadron 101 équipés du système de leurre-radio contre les intercepteurs de la Luftwaffe.
Le No 6 Group canadien de l'A.V.M. Clifford (Black Mike) McEwen prépare 24 Lancaster III et 80 Halifax III.
Le No 4 Group de l'A.V.M. (Charles) Roderick Carr  mobilise 84 Halifax III en évitant soigneusement d'engager les groupes français Guyenne et Tunisie sur une cité française.
Le No 8 Pathfinder Group de l'A.V.M. Donald Clifford Tyndall Bennett  sélectionne 20 Mosquito  de reconnaissance d'objectifs, dont 6 équipés du système de visée OBOE, pour bombardement sans visibilité.
Halifax et Lancaster sont chargés de bombes. H.E. (high explosive) de 500 et 1000 livres. Ils emportent ainsi chacun 5.5 tonnes de bombes, destination, Caen à 21 h 50.

2 276 tonnes de bombes seront larguées ce jour là...

"une attaque remarquable par sa précision" notera Montgomery dans ses souvenirs de guerre...

Le rapport d'investigation des effets du bombardement de Caen du 7 juillet 1944 par le Stanmore Bombing Committee à Caen, le 12 juillet 1944, nous dit:
Les officiers s'étonnent de n'avoir vu aucune défense sur les routes, aucun ouvrage fortifié. Ils s'interrogent sur l'objectif du bombardement.

"Les Français interrogés, tout comme les officiers de l'armée sur site le 7 juillet, ne font état d'aucune zone de défense ni de bastion particulier devant Caen, dans le quadrilatère de bombardement. Aucune épave de canon ou de chars enterrés marqués sur la carte par la 2è armée en justification de la demande d'intervention des lourds, ne peut être retrouvée pour être photographiée."  signé:
AVM Robert Dickinson Oxland , Bomber Command
Air Commodore  Edgar James Kingston-McCloughry , AEAF
Prof. Solly Zuckermann , AEAF
Group Commander Lucas, AEAF
Maj. Beunett, SHAEF
Col. Hobbs, 21st Army Group."

Eisenhower lui, déclare que "la destruction de Caen est impardonnable" Antony Beevor, Histomag’44 juin 2009
Puis enervé par la tournure des combats, il déclare : "Nous ne pouvons pas espérer traverser toute la France en larguant 1000 tonnes de bombes au kilomètres !"...

Reprenons le texte du Stanmore Bombing Committee sur les conséquences por les alliés:
"Les cratères contigus varient de 10 à 15 mètres de diamètre par 3 mètres de profondeur. A une exception près (en secteur Canadien) toutes les routes menant vers le centre-ville sont infranchissables, y compris aux engins chenillés."
"La progression est extrêmement pénible à travers les champs de cratères des bombes de la RAF."  lnt Burges, de la Cie A 2nd Royal Ulster Rifles (9th Brigade, 3rd British ID)
"Les chars sont vulnérables, empêtrés dans le réseau des cratères en montagnes russes causés par le Bomber Command" Alan Melville du RAF Press-Center, il accompagne le 1st King’s Own Scottish Borderers (9th Brigade, 3rd British ID)
"Gagner le nord de la ville n'était pas une mince affaire puisque ce n'étaient que trous de bombes sur plus d'un kilomètre." André Heintz membre de la Résistance et des Equipes d’Urgence.

Joseph Poirier, 3ème adjoint au maire, directeur urbain de la Défense Passive, déclare:
II faudra des semaines pour retirer les corps qui gisent sous les ruines d'un gros immeuble. Dans les carrières Saint-Julien, il y a des centaines de victimes enterrées sous l'effondrement des carrières. Des hommes de la D. P., après des efforts inouïs réussissent à en sauver quelques-unes...

Au total, Caen sera bombardée 48 fois en 72 jours... Le 6 juin 2 613 des 14 674 sorties totales seront dirigées sur Caen.
Les bombardements auront lieu les:
6,7,8,9,12,13,14,15,16,17,18,22,23,24,25,26,27,28 juin
1,2,4,5,6,7,8,9,10,12,13,14,15,16,18,19,,23,24,26,30,31 juillet
4,7,8,9,10,11,12,14,17,Août

Voila ce que l'on peut dire en bref d'un "bombardement de précision"

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France, 1944. Des soldats alliés examinent une rampe de lancement de V1.  La construction était inachevée au moment de sa capture…

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Avranches, 2 août 1944. Des centaines de prisonniers allemands sont dirigés vers l'arrière après avoir été capturés pendant les étapes initiales de l'offensive …

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Vire, août 1944. Le matériel roulant et les voies de la gare de triage de Vire gît en ruines après les bombardements alliés qui ont précédé l'occupation de la ville le 7 août...

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France, 1944. Un bulldozer américain, D7 Caterpillar au combat…

 
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Algérie, 1944.  Des unités US se ruent depuis leur LCVP sur la plage lors d’un entraînement pour le débarquement de Provence.
Les LCVP sont immatriculés PD29-4, PD29-3 et PD29-2.
Le APD-29 est l' USS Barry (Ex-DD-248), ce n'est qu'en janvier 1944 qu'il devient le transport de troupes rapide APD-29, sa conversion  se fait à Charleston Navy Yard, du 31 Déc. 1943 au 17 Févr. 1944. Puis il part pour Mers-el-Kébir, Algérie, où il y arrive le 30 avril.
Il mène des entraînements amphibies, en vue du débarquement de Provence, auquel il participe. Il part ensuite pour le Pacifique.

Curieusement, cette photo est utilisée pour les affiches éditées par l'Office de tourisme du Bessin pour le 70ème anniversaire du débarquement…
 
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Devon, Slapton Sands, mai 1944. Exercice Fabius se déroulant du 3 au 8 mai 1944 à Slapton Sand,…
Des GIs sur une plage, deux LCT, les 7 et 495 rampe abaissée, un autre en mer le LCT-474.
Dans la cale du LST 495 un Chevrolet 1.5 ton 4x4 Panel Trucks, équipé Signal Corps K-51 Radio Trucks, avec une remorque K-52 1-ton Ben Hur,
 
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Domfront, 1944.  Stockage de carburant dans le bocage à Domfront.
Lieu-dit « Tourne-Bride » sur la N176 au sud-est de Domfront.
 
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Cherbourg, le 14 juillet 1944. Tout le monde est à ses fenêtres dans cet immeuble situé à droite de l'Hôtel de Ville, en face du kiosque de la Place de l'Hôtel de Ville à Cherbourg, et qui arbore le Stars & Stripes pour fêter les libérateurs.

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France, 1944. Une unité d'appui américaine progresse depuis la plage d'Utah Beach vers l'intérieur des terres.
Le cliché nous montre une grande variété de fonctions : simple soldat, téléphoniste, brancardier, infirmier, ou mitrailleur.
Tous portent encore leur ceinture de flottaison. Le soldat de gauche est chargé d'un trépied d'une mitrailleuse lourde M1917A1. L'arme elle-même est à droite, le tuyau du condenseur enroulé autour du manchon de refroidissement.
A gauche l’on remarque la tresse blanche délimitant le couloir déminé.
 
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Pont-Hébert, 1944. Au premier plan les ruines de la beurrerie Henri Claudel…
Situé sur la rive gauche de la Vire, le site donne accès au nord de Saint-Lô. Il est âprement défendu par les Allemands.
La 30th US ID s'en empare (119th ou 120th IR selon les sources).
Les Allemands reprennent la ville, mais, grâce à la position des Hauts-Vents, bien défendue, le 119th IR y entre de nouveau le 14 juillet, après des combats difficiles et de nombreuses pertes subies, il repousse les SS de la 2. SS Panzer-Div. " Das Reich " et des éléments de la Panzer Lehr.
La libération définitive a lieu le 17juillet… Le pont de Vire en ruines est contrôlé et le 137th Inf. de la 35th US ID arrive à sa hauteur de l'autre côté du pont par La Meauffe que les Allemands ont fui le 14 juillet.
17 civils sont morts durant les combats.
L'usine Claudel est en fait sur la rive droite de la Vire sur les communes de Rampan et La Meauffe ; mais l'adresse postale de Claudel était "Pont-Hébert".
 
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Extrait d'une carte allemande de mai 1943 Pont-Hébert (Manche)
1 : la carrière Deslandes
2 : la fromagerie Claudel
3 : la beurrerie Claudel (Photo précédente)
4 : emplacement du photographe (évalué)
5 : secteur photographié
6 : église, voir ci dessous
7 : boucherie à "colombages" et route de Saint-Lô, voir ci-dessous
 
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Cherbourg, le 14 juillet 1944. Défilé des soldats américains victorieux sur la place de la République à Cherbourg.
Dans le détachement deux drapeaux le Stars & Stripes et le " regimental color " de l'unité difficilement identifiable, peut être un des éléments de la 9th ID.
Les piliers du kiosque en arrière plan sont décorés de drapeaux… Ce kiosque vient de l'Exposition Universelle de1889 à Paris, et fut acquis par la ville de Cherbourg, devant ce dernier on aperçoit l’obélisque commémorant le retour en France du duc de Berry en 1814, après son exil à Jersey.
 
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En mer, le 8 juin 1944. Sur l'USS Augusta (CA-31) au large d'Omaha.
De gauche à droite : Maj. Gen. Hugh Keen, Lt. Gen. Omar Bradley et Gen. Dwight Eisenhower.
 
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Weymouth Portland Harbour, juin 1944. Au premier plan le LCVP PA13-22, il est attribué au APA 13 soit l'USS Joseph T. Dickman à UTAH le 6 juin.
Au second plan un Rhino Ferry avec des ambulances et derrière le LCI-489
 
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Grandcamp-Maisy, le 19 juin 1944 . Des mines sont accrochées sur des rampes en bois plantées sur l'estran devant le Wn 81 à l'ouest de Grandcamp-Maisy.
Ces obstacles de plage Holzfähle avec des Tellerminen antichar devaient repousser une invasion navale, mais l'alternance des marées a empêché beaucoup d'entre elles de fonctionner.
 
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Arromanches, le 22 juin 1944. Radar allemand FuMO 214 Würzburg-Riese installé sur la falaise d'Arromanches au Stützpunkt 42 et servi par un détachement de la 2./Funkmess-Abteilung.
 
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Chambois, le 26 août 1944. Deux jeunes filles françaises remettent un bouquet de fleurs au général Eisenhower alors qu'il visite le champ de bataille de la poche de Chambois, en se rendant à Paris.
La voiture est une [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] modèle 75 heavy field Sedan à 4 ou 7 passagers (dans ce dernier cas elle est appelée Limousine) réservée aux officiers généraux de haut rang.
Elle se distingue du modèle civil par la peinture vert olive mate et l'absence ou la peinture (c'est le cas ici) de tous les chromes.
Les phares et les feux arrière sont remplacés par des black-out et les pare-chocs et amortisseurs sont renforcés. L'allumage était blindé et antiparasité.
Cette voiture était prisée des généraux car elle franchissait bien les cours d'eau à gué.
Celles utilisées par les officiers supérieurs aux USA et par le corps diplomatique étaient peintes en noir.
 
Le Général Patton perdit la vie dans un véhicule identique :
 
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Montebourg, 1944. Durant la bataille de Montebourg, l'hôtel restaurant "Hôtel du midi" se trouvant sur la place Nationale a été complètement détruit.
Il a été reconstruit au même endroit, aujourd’hui la place porte le nom de place Albert Pélerin
 
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Montebourg, juin 1944. Photo prise de La Lande Mangon entrée sud de la ville, pendant la bataille, probablement entre le 8 et le 14 juin, la flèche de l'église n'étant pas encore détruite.
Au premier plan des épaves américaines : Trailer 1/4t (remorque) et sa Jeep de la 4th Inf. Div. (régiment ?), à droite près du poteau EDF : Trailer 1t "Ben Hur".
Devant, sur la droite de la route un Half-Track.