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Forum de discussion sur les parachutistes
 
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 A Bac-Kan avec ceux de l'Antenne Chirurgicale Parachutiste.

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Manta210

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MessageSujet: A Bac-Kan avec ceux de l'Antenne Chirurgicale Parachutiste.   A Bac-Kan avec ceux de l'Antenne Chirurgicale Parachutiste. Icon_minitimeVen 13 Mar 2015 - 16:04

Bonjour,

A Bac-Kan avec ceux de l'Antenne Chirurgicale Parachutiste.


Nos récentes actions aéroportées au Tonkin ont permis d'expérimenter pour la première fois dans l'Armée Française, le parachutage en zone de combat d'une antenne chirurgicale militaire, capable d'apporter aux premiers blessés parachutistes, les interventions d'urgence dont sont privées ces troupes, toujours isolées.
C'est près de Bac Kan que fut larguée la première équipe de secours. Composée de huit hommes, dont un chirurgien capitaine, elle accomplit sa tâche avec un plein succès. Dans les lignes qui suivent on lira le récit très vivant de cette opération écrit par un de ceux qui y ont participé.
Ce récit met en relief le dynamisme, l'entrain et l'esprit de sacrifice de nos équipes sanitaires ainsi que les sentiments de dévouement et d'humanité qui les animent.

Infirmerie sous paillote
A Bac-Kan avec ceux de l'Antenne Chirurgicale Parachutiste. Acp1_b10

Brevetés Parachutistes en Afrique du Nord, notre affectation à l'Ambulance nous avait fait longtemps espérer un fonctionnement analogue à celui adopté par les antennes américaines en 1944-45: parachutage de tout un groupe chirurgical, mis en place dès les premières heures du combat.
Nous attendions donc cette éventualité dès notre débarquement en Indochine, en mai dernier. Le temps passa : la rizière, les embuscades, la préparation des stages parachutistes. De la mission,toujours rien...
Et puis, d'un seul coup, le grand boum ! le départ pour le Tonkin en vue des grandes opérations.

Claude toujours bien renseigné, assurait :
- Moi, je vous dis, les gars, qu on tient le bon bout ; on n'a pas fini d'enfiler le pépin. Faut bien vous dire que le Tonkin c'est un peu le réduit Bavarois de mars 45 en Allemagne. On a laissé le temps aux "nhakés" de se dégoûter du régime Vietminh. Maintenant, on va foncer, et nous avec les copains : sans compter que ça va faire du bruit car c'est quand même la première fois qu'on voit une "antenne" parachutée française sauter, en
opération.
- Minute, rectifia Bernard, il y a eu Nam-Dinh,Hoa-Binh, Hué.
- D'accord, mais il n'y a jamais eu une expérience comparable à celle des Américains en Normandie.
D'ailleurs c'est le patron qui l'a dit, et, sûr, qu'il attend de nous un fameux coup de collier.
- T'en fais pas, conclut Christian, "marner" ça nous connaît, et il faut qu'on soit dignes de justifier la renommée du R.C.F. ; et puis, ça fera connaître l'antenne, et alors à nous les missions et les inscriptions en rouge sur le carnet de vol.
A vrai dire, nous étions un peu inquiets. D'abord l'antenne chirurgicale, c'était trop nouveau pour nous. L'infirmerie dans le bled marocain, et les garnirons algériennes, ça n'avait quand même pas l'air de nous préparer à ce nouveau travail ; et le patron paraissait assez sceptique quant à nos possibilités d'adaptation. Ce en quoi il avait tort, parce que nous, au fond, ce que nous voulions, c'était montrer qu'une antenne chirurgicale parachutée, ça peut rendre service.
- D'ailleurs, ce sont les copains eux-mêmes qui me l'ont dit, renchérit Jacques. Avant, un " para" blessé, c'était un type sacrifié. A nous de montrer que,désormais, les blessés ne seront pas sans soins sur le terrain.Ça va drôlement remonter le moral.
- Comme s'ils avaient besoin de ça ! ricana André.
Nous nous sommes donc mis à préparer le matériel; un stage (un peu trop court, il est vrai) à l'hôpital 415,nous avait déjà donné, sinon la possibilité d'acquérir une technique impeccable de l'anesthésie, de la réanimation et du bloc opératoire, du moins il nous avait familiarisés avec l'A.B.C. de la chirurgie. Et puis nous pensions : les gars de France ont de la ressource. Ça marchera.

(à suivre...)
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MessageSujet: Re: A Bac-Kan avec ceux de l'Antenne Chirurgicale Parachutiste.   A Bac-Kan avec ceux de l'Antenne Chirurgicale Parachutiste. Icon_minitimeVen 13 Mar 2015 - 17:23

En somme, il nous fallait préparer une salle d'opération complète, qui serait larguée au moment du baroud, et avec nous.  
Quand nous avons vu pour la première fois les colis à larguer, nous avons été ébahis par le volume, le poids, mais aussi, et surtout, par le caractère pratique et précis de tous les "bidules" nécessaires : une table d'opération légère, une table à servir, des récipients métalliques contenant tout le matériel à pansement et le nécessaire ad-boc (comme dit Claude qui a fait ses humanités) pour les premières interventions, les boîtes à instruments, le matériel à suture et celui d'anesthésie.

Dakota sanitaire
A Bac-Kan avec ceux de l'Antenne Chirurgicale Parachutiste. Acp410

Mais ce qui nous a le plus surpris, c'est la réanimation et l'éclairage. Toutes ces fioles à plasma et à sérum, jamais ça n'arrivera intact au sol après une chute de deux ou trois cents mètres !
- Mon vieux, dit André, optimiste, moi j'ai confiance. Si on largue ce matériel, c'est qu'on espère le voir arriver en état de servir.
- On verra bien, A ce moment, arriva Claude, avec trois gros "containers".
- Vous permettez que je déballe mes outils ? Et d'étaler devant nous : un petit groupe électrogène, des rouleaux de fil, des lampes et une petite caisse mystérieuse qu il transforma rapidement en un bloc réflecteur.
- Alors, là, je demande à voir ! affirma Christian, toujours sceptique.
- Mais c'est du déjà vu, et du vieux. Les Américains en ont fait l'expérience. C'est quand même pas les Français qui n'arriveront pas à se débrouiller avec tout ça.
- En tout cas, conseilla Claude, emportez vos lampes de poche, ça pourra toujours servir.
- Pourquoi pas aussi un tube au néon  !  

En fait, le matériel fut vite réparti entre les containers. Les uns, longs, étroits et bien rembourrés, abritaient le matériel fragile ; les autres, larges et ventrus, les accessoires moins délicats. En tout : 1.500 kgs d'affaires techniques et huit hommes, dont le Chirurgien-Capitaine. De quoi remplir confortablement un Dakota…

(à suivre...)
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MessageSujet: Re: A Bac-Kan avec ceux de l'Antenne Chirurgicale Parachutiste.   A Bac-Kan avec ceux de l'Antenne Chirurgicale Parachutiste. Icon_minitimeSam 14 Mar 2015 - 8:06

Bonjour,

Nous sommes à l'aube du jour  "J ". Ce n'est que ce matin, sur la piste d'envol, que le Capitaine a dit où nous sautions. La "dropping-zone" est étroite, pas très longue, une rivière au bout, les bois de chaque côté et des bambous anti-parachutistes un peu partout. Il va falloir se "parer "les jambes et les fesses, et Jean, qui a l'habitude d'atterrir sur le coccyx, se rembourre le postérieur. Tout est paré. Nous sommes solidement harnachés. Le matériel est déjà chargé.
- Ça fait quand même quelque chose, dit Claude.
- Embarquez !

Le Dakota prend sa place sur la piste. Il n est pas seul, d'autres s'alignent. Les "JU" en quantité se préparent. On se sent en famille. Nous vaincrons ! Nous survolons rapidement le delta puis la Moyenne-Région. A travers les fenêtres le sol, lentement, défile, calme et paisible. Les routés sont semées d'embûches et de coupures. II y aura du " pain sur la planche" en revenant. Le Dakota tangue. André est curieusement pâle. On sent un petit quelque chose dans l'estomac... On chante. La première sonnerie interrompt nos chants devenus confiants.
- Debout   ! Accrochez   !

Le Capitaine est à la porte, l'air un peu plus renfrogné que d'habitude. Le paysage défile et nous rappelle de vieux souvenirs des Vosges et de la Corse. Comme c'est déjà loin tout ça ! Deuxième  sonnerie.
- Go  !...

Et le stick part en trombe. Une grande claque à la sortie. Où sont mes jambes et mon ventral ? Un claquement sec sur la nuque : le pépin est ouvert. Après le bruit assourdissant dans la carlingue, le grand calme et cette indéfinissable sensation de béatitude. La descente est commencée. Rien ne vient du sol - curieux !
Au loin d'autres camarades déjà largués. En-dessous, une route, des fils téléphoniques. La rivière est loin, mais nous piquons droit sur les bambous pointus. Vite une glissade avant. Dégrafons le ventral. Le sol monte vers nous. Où est mon M.A.S. ? Flac ! en plein dans la rizière ! On a eu chaud ! Les bambous sont à moins de 10 mètres. Dieu que c'est bon de se retrouver entier !

A Bac-Kan avec ceux de l'Antenne Chirurgicale Parachutiste. Acp7_b10

Tac..co ! deux coups de feu partent du bois... C'est vrai, on avait oublié les Viets ! Et ce pépin qu'on n'arrive pas à enlever, ça y est. Tac..co ! ça se répète. Ohé l'antenne ! O.K. Jacques, André, Mikey ?  O.K. Vite le M.A.S. et une cartouche dans la chambre. On sait maintenant d'où ça vient... Regroupement... A 200 mètres, les camarades des sections de choc viennent à la rescousse.
- Pensez avant tout au matériel, a dit le Patron.
- Tu parles  ! Il est calme et souriant.
- En piste, on les aura   !  

Le Dakota revient vers nous et commence à larguer les "containers"de matériel. Les coups de feu se multiplient. Mais tout ça est loin et on ne pense guère aux Viets. Par groupe de deux, on patauge dans la rizière pour récupérer les ballots et containers. Sur un talus, le Patron repère les points de chute et dirige. Nous sommes maintenant loin de la "droppingzone". Le premier larguage est tombé à huit cents mètres environ. Du bois, à droite, on se fait allumer et de près. On se vautre dans cette bonne boue de rizière. On se relève. Cette fois on les a vus. Ils sont trois en blouse marron. Deux claquements secs et bruyants, Le M.A.S. a parlé. On se rapproche. Ça répond à nouveau. Le M.A.S. réplique. Deux beaux cartons ; le troisième fuit.

A Bac-Kan avec ceux de l'Antenne Chirurgicale Parachutiste. Acp210

Derrière nous, les coups de feu isolés alternent avec les rafales dé Thomson. Ils ne doivent pas avoir d' "automatiques". Tant mieux !  
Pendant une heure, reptation dans la rizière et passage de rivière avec containers. Nous sommes chargés comme des mulets. Qu'importe ! On se sent capable d'avaler tous les Viets de la création ! En une heure, le matériel est rassemblé sur la route. Le Colonel, placidement monté sur un "brèle" récupéré, nous sourit au passage. Nos gars sont déjà bien avancés... Les coups de feu deviennent plus rares. En route pour l'hôpital de la ville. Exténués, mais contents, nous voilà maintenant à pied d'oeuvre. La ville, perchée sur un piton, a été prise rapidement. Pas de grosse résistance.

(à suivre...)


Dernière édition par Manta210 le Sam 14 Mar 2015 - 11:25, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: A Bac-Kan avec ceux de l'Antenne Chirurgicale Parachutiste.   A Bac-Kan avec ceux de l'Antenne Chirurgicale Parachutiste. Icon_minitimeSam 14 Mar 2015 - 11:22

L'hôpital est abandonné. Les médecins adverses, toujours empressés envers leurs compatriotes, ont fui depuis trois jours ! Une saleté repoussante partout. Des meubles éventrés ; la pharmacie ravagée ; le bloc opératoire inexistant. La corvée de nettoyage s'active, et à huit il faut faire le travail de trente, Claude et Jacques déballent le matériel. (Tout est arrivé intact au sol. Quel succès !) André et Christian, hâtivement, nous préparent une salle qui nous servira de bloc. Mikey installe sa stérilisation, et Michel s'affaire à son plasma. Ça se monte. Le billard est en place. Les drums stériles sont sortis.  

A Bac-Kan avec ceux de l'Antenne Chirurgicale Parachutiste. Acp310

Les premiers blessés arrivent. A 16 heures, trois heures après le saut, tout est paré. Le premier blessé au ventre est sur le billard. Jacques aidera le Capitaine à opérer. Claude a paré le bloc d'éclairage. Michel déjà commence la transfusion et Bernard a sa seringue de penthotal. Il pique.
- Compte, mon vieux, et tu vas retrouver ta belle blonde.
- Un, deux, trois... dix... douze. Le blessé continue d'une voix pâteuse...
- Vous pouvez commencer, mon Capitaine. Premier coup de bistouri de l'antenne. II est 16h15, annonce André, qui est comptable dans le civil.
- 120 de pouls et ça faiblit, annonce Michel.
- Fais-lui coramine et lobédine. Non pas dans ce bras, dans l'autre. Catgut enfilé, le toubib lie, suture et coupe. Notre blessé est sérieusement pâle. Il respire mal.

Halte dans un village
A Bac-Kan avec ceux de l'Antenne Chirurgicale Parachutiste. Acp6_b10

Bernard est inquiet, Michel est toujours soucieux et le Capitaine l'interroge souvent du regard. Ça va bientôt mieux (c'est-à-dire moins mal). Les derniers points sont passés.
- Prépare les bouillottes (Guy a déniché on ne sait trop où l'eau chaude nécessaire). On coud la peau.  
- Faites-lui de l'oxygène,  camphre et lobedine !

Notre première intervention est finie. Elle a duré 30 minutes. Notre premier blessé reprend peu à peu. On le couvre et on le réchauffe. Le plasma passe toujours, l'oxygène lui arrive continuellement. On le transporte bientôt sur un lit (pendant l'opération, les deux derniers camarades de l'antenne ont monté la salle d'hospitalisation : dix lits en tubes sont prêts à recevoir les premiers blessés). Nettoyage rapide du bloc opératoire.
- Au suivant  ! Les brancards s'alignent plus nombreux dans le couloir. Les premiers pansements ont été enlevés, les plaies nettoyées et la peau rasée. Classés d'après la gravité de leurs blessures, ils sont parés.                                                            
Jusqu'au lendemain soir, huit heures, une vingtaine de nos copains blessés vont défiler. Nous tenons à coups de "kawa" et de gnôle, que Guy, toujours débrouillard, a récupérés. Après cette première séance, quelques heures de repos ; et avant de reprendre la blouse, inspection des blessés et malades abandonnés par les Viets. Encore là un sacré "boulot" pour l'équipe !
- Il n'y a qu'à les laisser. Si ça se trouve ce sont tous des Viets ! Et peut-être bien encore des Viets qui ont massacré nos compatriotes civils sans défense !
- Et alors, qu'est-ce que ça change ? Nous n'avons pas à nous occuper de ça, et c'est une excellente occasion de leur montrer que les "colonialistes" comme ils nous appellent, savent faire de meilleure besogne que leurs imbéciles de toubibs.  

On a donc opéré leurs urgences et soigné les malades graves.  
Depuis deux jours, trois nourrissons n'ont eu pour nourriture que de l'eau. Guy, qui se découvre des talents de nourrice sèche, va préparer de rudimentaires biberons avec le lait en poudre de nos rations "Pacific". Et tout ça, ça fait de bons petits français, gouaille-t-il en chantant !

Dès le lendemain de notre arrivée, le premier Morane sanitaire se pose sur le terrain d'aviation reconquis. Nos premiers opérés légers sont repliés sur Hanoï ou Langson. A notre travail d'antenne chirurgicale, s'ajoute celui de l'Assistance médicale indigène ; la police sanitaire du pays ; les vaccinations de la population civile. Et nous ne sommes que huit ! Grâce à Dieu, les formations sanitaires terrestres vont bientôt arriver et l'organisation médicale du secteur va se faire.  

Insigne de la 5ème Section d'Infirmiers Militaires
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Maintenant que l'antenne a été installée, qu'elle a fonctionné pour les camarades, qui, aux premiers jours de la conquête ont eu besoin de nous, notre rôle est terminé. Cette première épreuve d'une antenne chirurgicale parachutiste participant aux opérations aéroportées, nous paraît avoir réussi. A d'autres, de continuer le travail commencé. Quant à nous, les éternels bohèmes, nous repartons vers d'autres cieux, préparer la mission suivante, fiers d'avoir réussi la première, et confiants dans notre destin de Français.

Source:

  • Revue Tropiques n°297 mars 1948.
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MessageSujet: Re: A Bac-Kan avec ceux de l'Antenne Chirurgicale Parachutiste.   A Bac-Kan avec ceux de l'Antenne Chirurgicale Parachutiste. Icon_minitimeVen 18 Oct 2019 - 10:51

Un sujet bien trop peu vu.... Encore une fois ! Suspect

Qu'ils soient Paras ou non, ces toublibs ont effectué un travail phénoménal ; parmi eux, un certain Dr Grawvin

_________________
S.F.
"La Guerre n'est pas belle, l'Humanité ne l'est pas non plus..." - Général Bigeard
Le temps qui passe nous rappelle la vérité de cette phrase.
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