L'Union des Femmes Françaises

Un article de Lombart sur PTH


J'ai choisit socialement cette rubrique, car peut-être ces femmes y seront reçu avec compréhension par certain d'entre vous.

Je vous présente quelques fondatrices de l'UFF.

Union des Femmes Françaises. Jusqu’à là ça va !!

Eugénie Cotton 1881/1967
-Membre du PCF
-Fondatrice en 1844 de l'UFF
-Prix Staline internationnal pour la paix en 1950

Marie-Claude Vaillant-Couturrier 1912
-Membre du PCF
-Secrétaire-Générale de l'UFF en 1946
-Commandeur de la Légion d'honneur en 1995

Yvonne Dumont 1911/2002
-Membre de PCF
-Fondatrice de l'UFF
-Légion d'honneur en 1983

Julie-Marie Vermeersh 1910/2001
-Vice-Présidende de l'UFF
-Membre du PCF

Je vais maintenant sous demander de lire un extrait du remarquable livre de Paul Bonnecarrère : Par le sang versé



" L'arme automatique ennemie n'étant plus dirigée de leur côté, les légionnaires s'élance et, à leur tour, criblent de balles les tireurs viêts, anéantissant leur principal nid de résistance. La plus grande partie des porteurs se rend, levant les mains et tombant à genoux Seuls quelques téméraires cherchent leur salut dans la fuite en compagnie des combattants qui courent désespérément sur le terrain nu qui mène au cours d'eau. Pas un seul n'y parviendra; un à un, ils sont abattus par les légionnaires qui prennent le temps de viser soigneusement entre chaque coup.

Attiré par le bruit de la fusillade, la section du capitaine Raphanaud arrive au pas de course sur le lieu de l'embuscade.

Haletant, ruisselant de sueur, le capitaine juge la situation; les prisonniers, leur chargement éparpillé çà et là, les fuyards dont les corps jalonne la déclivité du terrain jusqu'à la rivière tarie. Enfin, d'un regard circulaire, il examine les hommes de la section Parsianni, s'attendant à lire sur leur visage l'excitation qui succède à la tension des combats.

Il découvre des hommes figés dans un mélange de stupeur et de tristesse, D'instincts, Raphanaud cherche Parisianni. C'est alors qu'il l'aperçoit.

Un légionnaire a retrouvé son corps, L'adjudant gît sur le dos, ses yeux gris grands ouverts paraissent refléter l'étonnement dans la quel il est mort. Un caporal s'approche de Raphanaud et dit Simplement :

- Mon capitaine, ses yeux. J'ai pensé que vous préfèreriez les fermer vous même.
Raphanaud acquiesce d'un vague mouvement de tête. D'une pression de la mai, sur l'épaule du caporal, il exprime sa gratitude, puis s'agenouille près du corps de son compagnon. Il rabat les paupières du mort, lui arrache du cou sa plaque d'identité, et un long instant contemple le visage de son ami.

Lorsqu'il se relève, la violence a fait place à la douleur. Il hurle ;

- Qu'est-ce qui c'est passé, nom de Dieu ? Vous êtes tous là à me regarder comme des abrutis ! Aucun de vous n'a la moindre égratignure, et votre chef a reçu trois chargeur de FM à bout portant !

Bijker, un Hollandais, répond d'un ton neutre.

- Il a balancé deux grenades, mon capitaines, elles ont pas pété.

- Qu'est-ce que c'est que cette salade ?

Plusieurs hommes confirment l'exposé de Bijker. Le fait est incontestable.

Raphanaud ne comprend pas. Il arrive fréquemment qu'une cartouche de fusil avorte à cause de l'humidité, mais une grenade, on n'avait encore jamais vu ça.

- Où sont-elles tombées ces grenades ? demande Raphanaud.
Juste sous les macchabées, au pied du FM viet, mon capitaine, précise Bilker. L'adjudant se trouvait derrière cet arbre et le FM tirait sur nous. Il pouvait pas louper son coup.

Raphanaud ne l'écoute plus. Rageusement, il dégage les cadavres viets à la recherche d'une explication. Il la trouve.

Les grenades ont bien explosé, mais la charge d'explosif qu'elles contenaient était insignifiante; juste suffisante pour en permettre l'ouverture et que se répande une multitude de tracts miniatures de la superficie d'une boite d'allumette.

D'un côté des papillons on lit, en lettres tricolores : Paix en Indochine; de l'autre , grossièrement dessiné; un soldat du style bidasse épanoui, serre la main d'un Asiatique souriant. Sur un bord en caractères minuscules, est imprimé : Don de l'Union des Femmes Française."

SL

Une belle brochette de salopes, le communisme dans toute sa splendeur.

A noter que l'UFF existe toujours, la dénomination a changée début 2000 pour devenir "femmes solidaires".
Solidarité vous vous ne doutez fort bien orientée.

Ce n'était que la répétition des obus en 1940 qui foiraient parce que sabotés par les ouvriers militants du PCF. Et, à cette époque, les bolcheviques français soutenaient le camarade Staline qui était allié à tonton Adolphe! Les amis de nos amis sont nos amis.

Je viens de vérifier... Eugénie Cotton a bien reçue, elle aussi la Légion d'Honneur !

"Don de l'Union des Femmes Française."


effectivement, un tel don méritait bien la LH !
Quand je proclame que cette distinction c'est de la M...de !
(sauf celle reçue "au péril de sa vie")

J'espère que toutes celles qui se sont livrées à de telles ignominies l'ont payé d'une  manière ou d'une autre.... Et très cher.... Il y a de multiples façons....

De la part d'un homme de tels actes sont déjà inacceptables, de la part de femmes, cela dépasse l'entendement.... 

Quant à la LH.... Il y a beau temps qu'elle est donnée à n'importe qui....

Je ne voudrai absolument pas pourrir ce sujet par mon commentaire, mais les votes législatives d'hier montrent que les cocos ont toujours le vent en poupe alors que le FN, "ces collabos des nazi" ont eux des difficultés à avoir des députés.

Tout aussi curieux, les cocos ont toujours eu des députés, exit le souvenir des épurations de Staline le "petit père du peuple" avec ses camps, de goulag, qui a affamés son peuple.... les prisonniers de guerre étaient considéré comme des déserteurs à la fin de la guerre.... Bravo pour la démocratie !

Non, rien de tout ça comme référence, par contre, le FN .... Il a tout les défauts.

Les Français n'en toujours rien compris dans les votes alors tant pis pour leurs gu....es.

Moi je ne vote pas et je ne voterai pas dimanche prochain non plus pour des crétins pareils qui se présentent et qui, en permanence donne des leçons de démocratie aux autres.
Tous des pourris ces politiques qui nous prennent pour des imbéciles et des imbéciles qui les votent encore.... Faut pas s'étonner après de constater dans quelle panade se trouve la France. Mais à quoi bon s'énervé...

On ne fera jamais un cheval de course avec un bourricot même on lui coupant les oreilles en pointe.

Lothy-SF a écrit:

J'espère que toutes celles qui se sont livrées à de telles ignominies l'ont payé d'une  manière ou d'une autre.... Et très cher.... Il y a de multiples façons....

.

Je ne sais pas pour toutes mais la Vermeersch est morte bien trop vieille et dans son lit à 90 ans.
C'était faut t-il le rappeler la compagne de Maurice Thorez*, partie le suivre dans sa désertion en URSS de septembre 39 à novembre 44.
Stalinienne indécrottable.

*Nommé ministre d'Etat pas de gaulle en 45

Comme je le précisais, il y a de multiple façons de "payer"....

Elle fut la compagne de Thorez, puis son épouse.... nous ne connaissons de leur vie que ce qu'ils ont bien voulu en dire....

Exception faite que leurs enfants et petits enfants fréquentaient des écoles religieuses pas très loin de chez moi...

Pour les rejetons de cette famille maudite je ne sais pas mais ils menaient grand train...une vie d'apparatchik à la française.

zitoune a écrit:

Pour les rejetons de cette famille maudite je ne sais pas mais ils menaient grand train...une vie d'apparatchik à la française.

Le plus drôle de l'histoire c'est que les gamins allant à l'école religieuse, notre paroisse (et celles des alentours) n'avait jamais de difficultés pour se procurer des salles - ce qui n'était pas si simple à l'époque.

M. Thorez intervenait en faveur de toutes celles du secteur !

Maurice Thorez, comme le montre très bien Annette Wieviorka, fut «le meilleur stalinien de France».

Rien d’étonnant si le secrétaire général du parti essaya de cacher, aussi longuement que possible, les accusations du XXe Congrès du Parti communiste de l’Union soviétique sur les crimes du «petit père des peuples».
Ce qui ne l’empêcha pas ensuite de devenir le grand ami de Nikita Khrouchtchev auprès de qui il passa toutes ses vacances jusqu’à sa mort en juillet 1964, au large d’Istanbul sur un bateau soviétique qui l’emmenait en Crimée.

Rien que du beau monde, tu l'as bien dit Zitoune !

Lothy-SF a écrit:

M. Thorez intervenait en faveur de toutes celles du secteur !

Tu as donc profité des largesses de cette ordure????

N'oubliez pas qu'autour de Paris, il y avait cette partie de blanlieue plus rouge qu'à Moscou....
Il en demeure encore quelques vestiges dans le Val de Marne (où j'habite) et en Seine St-Denis, principalement...

Les Thorez, Duclos, et consort savaient se rendre proches de leurs concitoyens d'opinions divergeantes avec quelques bonnes actions sociales que des maires de droite, n'avaient pas l'idée de mettre en pratique de leur côté...

Cela s'est atténué avec les années, mais c'était encore très présent jusqu'aux années 70.

Moi les cocos , je les vomis.... avec la racaille qui nous envahit !

Ils nous prennent pour des imbéciles, ça ne tiendrait qu'à moi, exit la cgt et cie, les socialots et consort genre modem du style Q entre deux chaises, qui bouffent à tous les abreuvoirs et rateliers à la seule conditions que ça les arrange Eux... Des opportunistes nous l'avons vu avec la 2è GM...

Comment la France a t'elle put permettre un sabotage des armes, des parachutes etc. par ces salopards pendant la guerre d'indo et ensuite les sabotages  et agressions des blessés en retour en métropole pendant la guerre d'Algérie ?

Ensuite un nantis coco à la tête d'un partie politique "la France insoumise".... De qui se moque t'on ?

Mme Martin Grau, secrétaire cantonale de l'union des femmes françaises.

Eh bien, quelle garce cette harpie! Comment peut-on dire et donc penser à des choses aussi ignobles!

Ce n'est pas une femme. C'est un procès qu'elle aurait mérité cette dégénérée.

Les femmes qui avaient un mari ou un fils sous les drapeaux ont du apprécier.

Le corps Expéditionnaire en Indochine n'était composé que de militaires de carrière, ce qui permettait aux bolcheviques de tout poil de dire qu'ils composaient la garde prétorienne de la colonie...

Il n'ont jamais été à un mensonge près les admirateurs du "petit père des peuples" !

zitoune a écrit:

Les femmes qui avaient un mari ou un fils sous les drapeaux ont du apprécier.

Je ne m'en souviens pas directement car j'étais très jeune, mais c'est resté bien ancré dans la mémoire familiale, notamment celle de ma tante  dont le mari se battait là-bas !