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 L’histoire d’une photo, et celle d’un homme : le Nepvou de Carfort.

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Glard
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Paracolo
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MessageSujet: L’histoire d’une photo, et celle d’un homme : le Nepvou de Carfort.   L’histoire d’une photo, et celle d’un homme : le Nepvou de Carfort. Icon_minitimeJeu 11 Oct 2018 - 15:09

.


L’histoire d’une photo, et celle d’un homme : le Nepvou de Carfort.
Bien entendu cette photo est archiconnue, quel livre parlant de l’Indochine ne la comporte pas…
Par contre si beaucoup connaissent le nom du personnage central, peu connaissent le nom de l’autre personnage et les circonstances de la prise de cette dramatique photo.

Photo qui rendra célèbre au-delà de son environnement, le médecin lieutenant le Nepvou de Carfort.


L’histoire d’une photo, et celle d’un homme : le Nepvou de Carfort. Carfor10


Le lundi 28 septembre 1953 dans la lointaine Indochine, le 8e Choc arpentait les diguettes au milieu des rizières brillantes dans le delta du Fleuve Rouge, lors de fameuse « Opération Brochet»; le poisson, c’était le Viêt.
Soudain une explosion devant, des cris: «Vite mon lieutenant, le sergent est touché ! »

Le lieutenant c’est Patrice de Carfort. Il a 28 ans, il est blond et a le regard d’un bleu de cristal. Ce n’est pas un chef de section, c’est le médecin du bataillon.


Le second personnage, celui dont personne jamais ne parle, est le sergent Camille Lambert.
Il est au sol, sa veste a été enlevée, des plaies béantes laissent échapper sa vie.
Le médecin tombe à genoux, sa trousse est déjà ouverte. Il prend vite ses instruments afin de juguler l’hémorragie. Il ne dit rien, ses mains rougissent, il fouille avec sa pince, cherche la fémorale, la trouve, elle glisse, il la reprend, la perd à nouveau. Quelques soubresauts, le sergent ne gémit plus. Il fait chaud, le soleil est haut, il n’y a pas d’ombre. L’artère s’est rétractée, la pince ne la sent plus. Il essaye encore et encore. C’est fini, Lambert est parti, il ne voit plus le ciel du Tonkin, ses yeux se sont fermés, il est déjà très loin.

Patrice de Carfort se redresse, ses bras retombent, le sang ne coule plus. La vie a été chassée du corps de ce magnifique soldat, le médecin a perdu. Dans ses yeux, l’immensité de l’impuissance face à la mort.

C’est le moment où est pris le cliché…

A quoi sert maintenant cette rage qui monte en lui mais qu’il sait la contenir ?
Ce n’est pas la première fois qu’il entend cette mort ricaner. Que manquait-il ? Une minute, un geste de plus ?
Il connaissait bien Lambert : cultivé, idéaliste, mystique et maintenant ? Il n’a plus devant lui que son corps inerte qui lui hurle silencieusement son échec.

Au 8e Choc, tout le monde savait qui était ce lieutenant nonchalant aux airs d’adolescent. « Son aisance et sa réserve, en un mot sa distinction naturelle, son regard limpide et sa blondeur ne trahissaient pas forcément aux yeux du profane sa qualité de médecin de l’armée coloniale. Il avait le contact humain facile et naturel. Son autorité tranquille s'accommodait sans effort d'une grande gentillesse. Et chez un médecin, cela fait partie de l'art de guérir. » a dit de lui son camarade de promotion, le médecin-colonel Gindrey.,.


L’histoire d’une photo, et celle d’un homme : le Nepvou de Carfort. Carfor11


C’est à Diên Biên Phu qu’il donnera toute son âme et toute son énergie à lutter contre la mort. Il sera de toutes les reconnaissances du bataillon avec une sacoche à croix rouge qu’aucun pourvoyeur FM n’envie. Il marche toujours au milieu de ceux qui vont se battre. Il va au plus près, soigne sous les balles et s’évacue souvent in extremis avec le blessé.

Quand la bataille atteindra l’intensité qui interdit toute sortie, il ira dans les trous boueux, les boyaux inondés, les abris obscurs pour soulager la misère et se battre inlassablement contre la destruction des corps. Les nuits sans sommeil, la soif, les jours sans manger, les heures de pilonnage, l’incertitude quand le combat se rapproche trop, l’épuisement n’entameront en rien sa foi et son dévouement.

Prisonnier, privé de tout son matériel, il restera médecin et, avec rien, seulement ses mains et ses mots, il continuera à aider au péril de sa vie. Dans les camps viêts, un médecin n’est qu’une ombre comme les autres qui n’a droit qu’à la soumission.

Libéré il quitte l’Indochine avec cinq citations dont trois à l’ordre de l’Armée. Il est fait chevalier de la Légion d’honneur à titre exceptionnel pour faits de guerre.

« D’un dévouement et d’un courage exceptionnel, très aimé de ses camarades, littéralement adoré par la troupe » Voilà comment le capitaine Tourret, commandant le 8e Choc, trace le portrait de son médecin de bataillon.

En 1956, il est muté aux Nouvelles-Hébrides loin du fracas de là guerre. En 1959, il revient et débarque dans le sud-est algérien, affecté au 8e Régiment d’infanterie Coloniale comme médecin chef. Il donne à tous pendant deux ans une image exemplaire du médecin militaire. Ses réactions en opération, empreintes de courage et de détermination lui valent une sixième citation.

Il rentre à Paris en 1961 pour un stage à l’école d’état-major puis s’en retourne aux Nouvelles-Hébrides. Jusqu’à la fin de sa carrière, il alternera les séjours entre Port-Vila et Paris.

En novembre 1985, après quarante années de service, le médecin chef des services hors classes de Carfort est admis dans la deuxième section du cadre des officiers généraux.

Le médecin-général Patrice le Nepvou de Carfort personnalisait parfaitement l’esprit du Service de Santé des Armées à travers deux devises : celle de l’Ecole du Service de Santé des Armées de Lyon : « Pour la Patrie et l’Humanité » et celle de Bordeaux « Sur mer et au-delà des mers, toujours au service des hommes ».

Le Samedi 20 mars 2010, le médecin général Patrice le Nepvou de Carfort est parti sans bruit rejoindre le sergent Camille Lambert et tous les autres…

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MessageSujet: Re: L’histoire d’une photo, et celle d’un homme : le Nepvou de Carfort.   L’histoire d’une photo, et celle d’un homme : le Nepvou de Carfort. Icon_minitimeJeu 11 Oct 2018 - 17:49

Citation :
Bien entendu cette photo est archiconnue, quel livre parlant de l’Indochine ne la comporte pas…
Par contre si beaucoup connaissent le nom du personnage central, peu connaissent le nom de l’autre personnage et les circonstances de la prise de cette dramatique photo.
Connaître le nom de personnage central est déjà bien... j'ai vu des légendes très fantaisistes sous ce cliché ô combien célèbre...

Toutefois j'ignorais qui était le second ! Je ne pense pas être la seule....

Voilà un "mystère" résolu pour tous ceux qui prendront la peine de lire ce sujet study

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Glard

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MessageSujet: Re: L’histoire d’une photo, et celle d’un homme : le Nepvou de Carfort.   L’histoire d’une photo, et celle d’un homme : le Nepvou de Carfort. Icon_minitimeJeu 11 Oct 2018 - 19:23

Souvent aux avants postes. En volà un qui a bien mérité ses étoiles !
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Charly71

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MessageSujet: Re: L’histoire d’une photo, et celle d’un homme : le Nepvou de Carfort.   L’histoire d’une photo, et celle d’un homme : le Nepvou de Carfort. Icon_minitimeVen 12 Oct 2018 - 10:22

Un général qui s'est comporté en héro, presque anonyme et sans bruit, non seulement méritait ses étoiles,
mais en plus, toute notre considération .
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MessageSujet: Re: L’histoire d’une photo, et celle d’un homme : le Nepvou de Carfort.   L’histoire d’une photo, et celle d’un homme : le Nepvou de Carfort. Icon_minitimeMar 7 Mai 2019 - 2:29

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Les obsèques du médecin général Patrice le Nepvou de Carfort se sont déroulées aux Invalides le 25 mars 2010 où les honneurs lui ont été rendus.


L’histoire d’une photo, et celle d’un homme : le Nepvou de Carfort. Invali11

Éloge funèbre du général Jean-Claude THOMANN

"Mon général, Cher très grand ancien, Toubib,

En tant que Président du Club des chefs de section parachutiste dont vous étiez un membre éminent, et en tant qu’ancien chef de corps du 8°RPIMa, régiment que vous avez marqué de votre empreinte dans des circonstances tragiques, il me revient de traduire aujourd’hui l’émotion que ressentent tous ceux qui vous ont connu, qu’ils soient présents aujourd’hui aux Invalides dans notre église des soldats ou présents par la pensée pour cet hommage, qui marque à la fois la reconnaissance de nos Armées pour les exceptionnels services que vous lui avez rendus et l’estime toute particulière que vous accordait toute la communauté parachutiste, ainsi que vos frères d’armes de tous les horizons et les personnels du Service de Santé des Armées.

Né le 10 octobre 1925 à Bonen dans les Côtes d’Armor, vous ralliez l’Ecole du Service de Santé Militaire de Lyon en octobre 1945, où vous êtes brillamment reçu docteur en médecine en 1951, avant de rejoindre l’Ecole d’application du Service de Santé des Troupes Coloniales à Marseille.

Dès juin 1952, vous partez en Indochine et êtes confronté d’emblée aux dures réalités des combats. Pendant deux ans, vous faites preuve des plus belles qualités humaines et militaires. Médecin chef de bataillon, vous vous portez avec un remarquable sang-froid et un total mépris du danger dans les zones de combat les plus meurtrières.

« Médecin chef du corps qui est une figure marquante de l’unité, d’un dévouement et d’un courage exceptionnels, très aimé de ses camarades, littéralement adoré par la troupe, qui s’incline devant son abnégation et son dévouement », tel est, selon le capitaine Tourret, commandant le 8e BPC, le portrait du médecin-lieutenant Patrice Le Nepvou de Carfort.

Cité trois fois à l’ordre de l’armée et deux fois à l’ordre de la division, vous êtes promu au feu en raison de votre conduite qui force l’admiration au cours des combats de Dien Bien Phu et êtes nommé, à titre exceptionnel, chevalier de la Légion d’Honneur pour faits de guerre. Fait prisonnier en mai 1954, vous êtes libéré en septembre puis affecté au 8e bataillon parachutiste de choc à Bayonne.

De janvier 1956 à septembre 1959, vous servez en Polynésie où votre engagement et votre dévouement sont à nouveau mis en exergue.

Muté dans le sud-algérien en octobre 1959, vous rejoignez le 8e régiment d’infanterie de marine comme médecin-chef. Jeune officier supérieur, vous vous signalez par votre jugement très sûr, votre pondération et votre dynamisme. Toujours volontaire pour les missions les plus périlleuses, vous donnez une image exemplaire du médecin militaire et vos actions en opération, empreintes de courage et de détermination, vous valent une sixième citation.

De retour en métropole, et après un stage à l’Ecole d’Etat-major, vous êtes nommé en juin 1961 médecin chef de l’annexe du dépôt des isolés des troupes d’outre-mer à Paris où vos immenses qualités, et en particulier votre rayonnement, sont appréciés de tous.

Mon général, vous serez encore, de 1962 à 1965, médecin-chef d’un hôpital aux Nouvelles Hébrides, puis biologiste au service mixte de contrôle biologique à Paris de 1965 à 1973, année qui vous voit à nouveau rejoindre les Hébrides comme chef du service de santé.

Après avoir été président de la commission de réforme de Paris de 1975 à 1978, vous êtes de 1978 à 1980 chef de mission médicale et conseiller technique du ministre de la santé de Djibouti. En 1981, vous êtes nommé inspecteur technique de la médecine de prévention des armées et promu médecin général en 1982.

Vous êtes admis dans la 2e section du cadre des officiers généraux le 1er novembre 1985, avec le rang de médecin chef des services hors classe, au terme de près de 40 années de services durant lesquelles vos connaissance médicales, votre sens de l’opérationnel, vos exceptionnelles qualités humaines et votre dévouement sans pareil ont toujours été soulignés.

Permettez-moi, Mon général, d’ajouter à ces appréciations de vos chefs successifs, trois témoignages qui illustrent parfaitement tout ce que vous avez été pour vos frères d’armes.

En premier lieu, celui du colonel Lemire, dans son livre « Epervier », en légende d’une photo d’Indochine, qui appartient à la légende des parachutistes :

« Patrice de Carfort, son aisance et sa réserve, en un mot sa distinction naturelle, son regard clair et sa blondeur, ne trahissaient pas forcément aux yeux du profane sa qualité de médecin de l'armée coloniale.

Il est ici (sur la photo) à côté du sergent Camille Lambert gravement touché par une mine à MY TRACH. Il n'a pas pu le sauver, mais s'il était sensible à la mort des siens, il ne laissait pas l'émotion le paralyser.

Il avait le contact humain facile et naturel. Son autorité tranquille s'accommodait sans effort d'une grande gentillesse. »

A ce portrait, j’ajouterai celui que fait de vous Madame Geneviève de Galard, « l’ange de Dien Bien Phu », que vous avez bien connue :

"Le souvenir de Patrice de Carfort me replonge dans l'Antenne de Dien Bien Phu.

Malgré sa charge écrasante de médecin du 8ème bataillon de parachutistes coloniaux, sans cesse sur la brèche, il trouvait le moyen d'y venir pour un contact avec le Docteur Grauwin, mais surtout pour voir ses blessés, et pour tous il avait un mot de réconfort.

Patrice mettait de l'âme dans sa vocation et j'ai toujours à l'esprit cette photo déjà célèbre où on le voit, au cours d'une opération, auprès d'un blessé grave ; il y a dans son regard toute la souffrance ressentie devant son impuissance à le sauver, mais j'y vois aussi un regard vers l'ailleurs, une prière peut être.

Patrice aimait les solitudes mais il était profondément humain."

Enfin, permettez-moi de vous citer le témoignage informel que m’a confié le Dr Gindrey, chirurgien à Dien Bien Phu, et qui a fait ses premiers sauts de brevet en même temps que vous :

« Chaleureux et secret, Patrice faisait preuve d’un dévouement extraordinaire. C’est ainsi que, lorsque le 8 revint, à travers la jungle, de son raid sur le Laos en décembre 1953, il n’eut de cesse, quoique épuisé lui-même, d’aller d’un bout à l’autre de la colonne pour réconforter ses camarades. A Dien Bien Phu, sa lucidité frappait beaucoup les autres : elle nourrissait son courage, toujours très remarqué. Superbe combattant, il était aussi extrêmement compétent. Et il était élégant : c’était un SEIGNEUR »

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Dernière édition par Lothy-SF le Mer 17 Fév 2021 - 12:16, édité 2 fois
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Dranerb

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MessageSujet: Re: L’histoire d’une photo, et celle d’un homme : le Nepvou de Carfort.   L’histoire d’une photo, et celle d’un homme : le Nepvou de Carfort. Icon_minitimeMar 7 Mai 2019 - 7:06

Nous pouvons penser, encore plus aujourd'hui, à ce Seigneur du dévouement.
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Glard

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MessageSujet: Re: L’histoire d’une photo, et celle d’un homme : le Nepvou de Carfort.   L’histoire d’une photo, et celle d’un homme : le Nepvou de Carfort. Icon_minitimeMar 7 Mai 2019 - 9:28

Quel bel éloge !

Le lire un 7 Mai a une signification particulière !
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MessageSujet: Re: L’histoire d’une photo, et celle d’un homme : le Nepvou de Carfort.   L’histoire d’une photo, et celle d’un homme : le Nepvou de Carfort. Icon_minitimeMar 7 Mai 2019 - 9:51

Il y a parfois d'heureux concours de circonstances. ....

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Charly71

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MessageSujet: Re: L’histoire d’une photo, et celle d’un homme : le Nepvou de Carfort.   L’histoire d’une photo, et celle d’un homme : le Nepvou de Carfort. Icon_minitimeMar 7 Mai 2019 - 10:24

Glard a écrit:
Quel bel éloge !

Le lire un 7 Mai a une signification particulière !
... Oui !
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MessageSujet: Re: L’histoire d’une photo, et celle d’un homme : le Nepvou de Carfort.   L’histoire d’une photo, et celle d’un homme : le Nepvou de Carfort. Icon_minitimeJeu 18 Fév 2021 - 23:09

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Le futur médecin général Patrice Le NEPVOU de CARFORT avait fait l'objet d'une biographie complétée par son éloge funèbre...

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Sur son cercueil : la célèbre photo

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FranckF

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MessageSujet: Re: L’histoire d’une photo, et celle d’un homme : le Nepvou de Carfort.   L’histoire d’une photo, et celle d’un homme : le Nepvou de Carfort. Icon_minitimeVen 19 Fév 2021 - 12:25

Quel charisme ! Il était très jeune, mais tout de même !
J'ai vu cette photo à plusieurs reprises, sans vraiment savoir de qui il s'agissait !
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Brelan
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MessageSujet: Re: L’histoire d’une photo, et celle d’un homme : le Nepvou de Carfort.   L’histoire d’une photo, et celle d’un homme : le Nepvou de Carfort. Icon_minitimeDim 24 Mar 2024 - 11:03

Hommage lui était rendu il y a 14 ans...
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25 mars 2010 aux Invalides


L’histoire d’une photo, et celle d’un homme : le Nepvou de Carfort. Nepvou12L’histoire d’une photo, et celle d’un homme : le Nepvou de Carfort. Nepvou13
"... c'était un seigneur..." (Dr Gindrey)

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« Je crains les êtres gonflés de certitudes. Ils me semblent tellement inconscients de la complexité des choses … Pour ma part, j’avance au milieu d’incertitudes. J’ai vécu trop d’épreuves pour me laisser prendre au miroir aux alouettes… » Hélie Denoix de Saint Marc
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