De multiples naturalistes, anthropologues, historiens et scientifiques ont étudié les phénomènes de migrations et remarqué qu’il existe un seuil de « tolérance ».
Que ce soit pour les oiseaux, les insectes, les poissons, les plantes ou même les humains, le niveau d’acceptation, d’assimilation, d’intégration de concentration ou d’assemblage se situe à 6%. Au-delà on assiste dans tous les cas à des situations conflictuelles qui conduisent à des perturbations et des évolutions préjudiciables aux espèces locales.
Les recherches de l’éthologiste Konrad Lorenz (prix Nobel) ou du démographe Alfred Sauvy, parmi d’autres, en font état.
J’aurais pu baptiser mon sujet « Cueillette de grenades ! » mais ce titre aurait été beaucoup moins aguicheur.
Mon « exploit» remonte à l’été 1945, juste au lendemain de la guerre ; j’allais avoir 6 ans et j’allais découvrir la joie de ma 1ère colonie de vacances entre Méounes et Solliès-Pont dans le Var, hauts lieux de combats et de parachutages lors du Débarquement de Provence d’août 1944.
Le quotidien s’y traduisait souvent par des promenades matinales sur les bords du Gapeau, ce mini fleuve qui fait aujourd’hui parler de lui à chacune des inondations varoises. Tout se passait bien jusqu’à ce matin où j’ai trouvé cette fameuse grenade…
Entre deux gendarmes …
Nous avons forgé notre histoire,
Partagez la avec vos amis, ne laissez pas ce soin aux menteurs
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« La parole qui trop souvent n’est qu’un mot pour l’homme de haute politique, devient un fait terrible pour l’homme d’armes ; ce que l’un dit légèrement ou avec perfidie, l’autre l’écrit sur la poussière avec son sang » (Alfred de Vigny)
Le danger aujourd'hui, n'est plus le bruit des bottes...
...Mais le silence des babouches.